Roger Dubuis et la responsabilité sociale d'entreprise

Roger Dubuis s'est depuis longtemps engagé à mener ses activités commerciales de manière responsable. Il est de notre devoir de proposer à nos clients des créations exclusives et magnifiques, mais aussi produites de manière responsable sur le plan éthique, social et environnemental. Nous assumons la responsabilité des actes de notre entreprise et appliquons ces valeurs à nos méthodes de travail afin de conserver la confiance de nos clients et atteindre un niveau élevé de compétitivité. En offrant à nos collaborateurs de bonnes conditions de travail, en nous montrant bienveillant avec nos partenaires et les communautés au sein desquelles nous évoluons, et en traitant avec respect les ressources de notre planète , nous pourrons assurer le succès et la pérennité de notre entreprise.

Le Processus de Kimberley est un régime international de certification des diamants bruts qui a pour objectif d'éviter l'utilisation des « diamants de sang / de conflits » par des mouvements rebelles pour financer leurs activités militaires. Le Système de certification du PK est juridiquement contraignant, en raison de son intégration à la législation nationale de quelque 80 pays producteurs, transformateurs et commerçants. Les diamants bruts ne peuvent en aucun cas faire l’objet d’un commerce entre ces pays sans être accompagnés d’un certificat de Kimberley délivré par un gouvernement, confirmant que les diamants sont libres de conflit. Roger Dubuis ne s’approvisionne qu’auprès de fournisseurs respectant également ce système afin de garantir la légitimité de nos diamants.

Roger Dubuis utilise des peaux d’animaux exotiques pour ses bracelets en cuir. Celles-ci font l’objet d’une réglementation au niveau international : la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction (CITES). Elle a pour objectif de veiller à ce que le commerce international des espèces sauvages d'animaux et de plantes ne menace pas la survie des espèces auxquelles ils appartiennent. Pour ce faire, un système de permis a été mis en place. Pour qu’une peau exotique puisse être exportée, importée et réexportée, elle doit être accompagnée d’un permis émis par l’autorité compétente du pays de départ. Pour Roger Dubuis, cet accord concerne principalement la commercialisation de montres équipées de bracelets en alligator.